L’Omnium Volleyball Québec 2024 met la table à un nouveau chapitre
VOLLEYBALL. Plus de 1000 jeunes joueurs de volleyball se sont regroupés au Centre sportif de l’Université de Sherbrooke à l’occasion de l’Omnium Volleyball Québec, le week-end dernier. L’organisme sportif a également profité de l’événement pour lancer officiellement sa nouvelle image de marque.
« C’est un tournoi de début de saison. C’est de l’apprentissage pour tout le monde, même les entraîneurs et les arbitres », mentionne le directeur des compétitions de Volleyball Québec, Jérémie Ouellet.
Les gymnases de l’université sherbrookoise grouillaient de jeunes athlètes, âgés entre 15 à 18 ans, qui portaient fièrement les couleurs de leurs clubs. Parmi tous les jeunes, environ 110 équipes étaient présentes, 20 de plus que l’an passé.
En plus d’être assurés de jouer au moins quatre parties, les jeunes avaient la chance de discuter avec des ambassadeurs de Volleyball Québec. Pratiquant avec l’équipe nationale des moins de 18 ans, Mathieu Gilbert offrait des conseils à quelques joueurs de sa ville natale, Saint-Georges, avant de s’entretenir avec le Sherbrooke.info.
« Même si je n’ai que 16 ans, c’est important pour moi d’aider les plus jeunes. J’ai participé l’an passé au tournoi, donc ça me rend un peu nostalgique aussi », mentionne l’adolescent.
Un changement moderne qui arrive à point
Dans le but de moderniser son image, les employés de Volleyball Québec affichaient tous le nouveau logo de l’organisme. Le moment choisi pour dévoiler les effets de sa cure de jouvence n’est donc pas le fruit du hasard.
« Nous voulions maximiser l’exposition de notre nouveau visage. Lors de l’arrivée de notre directeur, Guillaume Proulx-Goulet, en 2022, c’était l’un de nos objectifs. Il s’agit d’un pas vers notre engagement à inspirer la prochaine génération de joueurs », ajoute M. Ouellet.
Souriant par rapport à cette nouvelle réjouissante, le directeur des opérations peut être également satisfait d’une autre chose : l’essor du volleyball dans la province. « Ça va tellement bien, que ce soit au niveau scolaire ou civil, chaque club ou chaque équipe doit malheureusement couper des jeunes qui ont le désir de jouer au volleyball », dit-il en terminant.